Le harcèlement au travail prend des formes différentes : insultes, critiques, mise au placard, intimidations ou encore humiliations.
Tout salarié peut être victime de harcèlement. Moqueries ou remarques désobligeantes peuvent compromettre un avenir professionnel et altérer la santé physique et mentale.

Le harcèlement moral au travail se retrouve dans le Code du travail mais aussi dans le Code pénal.

L’article L1152-1 du Code du travail définit le harcèlement comme suit : « Aucun salarié ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique et mentale ou de compromettre son avenir professionnel ».
C’est un délit, puni dans le secteur privé comme dans le secteur public.

Le harcèlement a toujours dans le but de nuire : empêcher la personne de s’exprimer, l’isoler, la discréditer, la menacer, la déstabiliser, se moquer, la dévaloriser, réduire son salaire… Il peut avoir lieu à tous les niveaux hiérarchiques : entre collègues, de manager à employé ou l’inverse.

Le harcèlement engendre de la souffrance au travail. Il a un effet destructeur sur la victime, sur son équilibre psychologique, physique et son insertion sociale. Les conséquences sont lourdes : perte de la confiance en soi, sensation de ne rien valoir, dépression et anxiété.

Une victime de harcèlement professionnel a besoin d’aide pour se reconstruire. C’est pourquoi je vous propose un suivi psychologique afin de vous reconstruire petit à petit.